Marie Jauffret-Roustide rejoint le réseau REUNIRA 

Sociologue à l’INSERM, Marie Jauffret-Roustide intègre REUNIRA avec son programme Drogues, Sciences Sociales et Sociétés (D3S).

Programme EHESS « Drogues, sciences sociales et sociétés »

Le présent programme de réseau en sciences sociales et humaines sur les drogues (D3S) se donne pour objectif principal de valoriser la recherche en sciences humaines et sociales sur les usages de drogues et les addictions aux substances psychoactives (tabac, alcool, médicaments et drogues illicites), en développant des thématiques de travail spécifiques considérées comme émergentes et/ou centrales. 

Ce réseau vise à rendre visible la recherche issue de ces disciplines mais également à favoriser le dialogue science-société civile, à favoriser le transfert des connaissances scientifiques et d’expériences à différents niveaux disciplinaires, sectoriels et institutionnels, par une démarche de recherche participative et numérique. 

Ce réseau est hébergé à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) et soutenu par l’Institut de Recherche en Santé Publique (IRESP). Il s’inscrit dans le prolongement d’une démarche ouverte en 2016 avec la création du programme « Sciences sociales, Drogues et sociétés » (ou D3S) formalisé à l’initiative de l’EHESS (École des Hautes Études en Sciences Sociales) et de la MILDECA (Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues et les Conduites Addictives). Ce réseau est dirigé par Marie Jauffret-Roustide, sociologue et politiste et coordonné par Déborah Alimi. 

Le réseau vise également à s’ouvrir à une dimension francophone (en particulier avec le Québec, mais également l’Afrique francophone, la Suisse et la Belgique pour lesquels des partenariats ont été initiés et seront développés au cours de ces quatre prochaines années) et à renforcer les coopérations fructueuses mises en place avec des premiers partenaires (EHESS, l’OFDT (Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies), le Labex (laboratoire d’Excellence) TEPSIS (Transformation de l’Etat, Politisation des Sociétés et Institution du Social), la Fédération Addiction (une fédération regroupant les acteurs du médico-social), le GREA (Groupe Romand d’Etude sur les Addictions) et une association d’usagers, ASUD (Auto-support des Usagers de Drogues)) par l’inclusion de nouveaux partenariats avec des équipes de l’EHESP (École des Hautes Études en Santé Publique), des universités (Lille-LEM, Paris Cité), de l’Inserm (Institut national de la Santé et de la Recherche médicale), du CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique), de Santé Publique France (SpF), d’EFUS (European Forum for Urban Security), de Médecins du Monde, de l’EMCDDA (European Monitoring Center on Drugs and Drug Addiction), de l’Université de Sherbrooke (Québec), le réseau Handicap et Sociétés de l’EHESS et le réseau sur les drogues de l’Afrique francophone.